An ti pitin, an ti bôbô, an réyel skétel. Mi sa yo ka tann’ an lè Maryse. Pour traduire, on dira que cette petite pute martiniquaise se fait régulièrement coker par des gars. Voilà donc une photo volée de ses derniers ébats. Avec Jean-Michel, un grand couillon originaire de Rivière Pilote, elle prend son pied. Pas de capote et sans précaution, cette pitin martiniquaise se fait défoncer. En toutes circonstances et n’importe où, notre salope de Madinina écarte les jambes. La seule condition pour rentrer dans sa coucoune, c’est d’avoir une grosse matraque bien coincée en elle pour la faire mouiller. Monter au septième ciel 7 fois par semaine est ainsi sa priorité de femme martiniquaise.
Une Lamentinoise accrochée à ses pulsions
Pour la résumer un peu, on dira que Maryse est une femme lamentinoise bien accrochée à ses pulsions et à ses fantasmes. Sans aucun complexe, elle joue la carte de la salope. Bien que les hommes mariés aient ses faveurs, notre pitin essaie de ne pas trop briser les mariages et les couples. Pourtant, quand le carnaval arrive, elle ne regarde certainement quel cal elle va se mettre dans la chatte. En la voyant nue, en train de se faire exploser au bord de la rivière, on se dit qu’elle n’est pas du genre qu’on arrête facilement.
